Flora-archéo accompagne les institutions chargées de conserver du mobilier archéologique. Ce module élargit les possibilités de Flora en offrant un cadre adapté au suivi des fouilles et à la mise en relation entre objets et données de terrain. Attention : Flora-archéo n’est pas inclus dans la version standard de Flora. Il s’agit d’une option. Pour plus d’informations, veuillez contacter le directeur commercial : fl.contenay@flora-bam.net À quoi sert Flora-archéo ?Flora-archéo est un module complémentaire de Flora destiné à la gestion des collections archéologiques. Il permet de prendre en compte les spécificités liées au mobilier issu de fouilles, en respectant à la fois : - les normes muséales du Service des musées de France,
- et les prescriptions archéologiques des Services régionaux d’archéologie.
Son objectif est de conserver non seulement les objets (artefacts, fragments, lots…), mais aussi leur contexte scientifique : opérations de fouille, unités stratigraphiques, liens chronologiques et géographiques. Ainsi, Flora-archéo assure la continuité entre l’objet sorti de terre et sa conservation au musée, en intégrant ses données de contexte. Quelles sont les tables concernées ?Flora-archéo repose sur les tables déjà présentes dans Flora et y ajoute des éléments spécifiques. Tables standard utilisées : - Biens (inventaire et gestion des collections),
- Lieux-Sites (thésaurus hiérarchique géographique),
- Personnes, Périodes, Bibliographie/Archives, Documents et Photos.
Nouvelles tables ajoutées : - Opérations : description des interventions archéologiques (diagnostic, fouille, prospection, etc.),
- Stratigraphie : gestion des unités d’enregistrement (US, faits, ensembles, sondages…), hiérarchisées et reliées aux biens.
Nouveaux thésaurus : - Vestiges (types de vestiges identifiés),
- Interprétation UE (interprétation des unités stratigraphiques).
Quel impact pour les utilisateurs ?Pour les équipes de musée et d’archéologie, Flora-archéo apporte : - Une continuité de gestion : tout est intégré dans Flora, pas de base parallèle.
- Un enrichissement de l’inventaire : chaque bien archéologique est relié à son contexte (opération, stratigraphie).
Une meilleure recherche et exploitation des données : - navigation entre sites, opérations, unités stratigraphiques et biens,
- index et recherches croisées spécifiques à l’archéologie,
- gestion de la documentation associée (photos, relevés, rapports).
Des outils adaptés aux pratiques archéologiques : - saisie par lots et dénombrement des fragments,
- import et export adaptés (modèles Excel spécifiques),
- possibilité de publier ou imprimer des synthèses (unités d’enregistrement, lots).
- Un cadre commun : un standard qui s’adapte à la diversité des structures (musées de site, centres de conservation, musées nationaux, etc.).
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